

The title of this exhibit is the word GROK.
As the guest curator of the GROK exhibition, the artists I chose to participate in the cavernous spaces of the Châteaux d’Aubais for spring 2020 attempt to reveal to the spectator what almost every human soul has in common, the magical and the mysterious. This is what was at the very root of the origins of cave art before language commenced. No one could say what art was then. It was something “else”, nondescript, alien, but favorable to intuitive experimentation. With determination, love, talent and above all solitude, the artist can rise above inhibitions.
I did not impose a theme but the word and title of a book, should unite us for these few weeks in our diversity in every sense of the word.
GROK is a Martian word meaning intuitive understanding or empathy, in relation to, empathetic sympathetic communication, discover enjoyment, which comes from STRANGER IN A STRANGE LAND, a 1961 science-fiction novel by Robert A. Heinlein. It is the story of Valentine Michael Smith, the man from Mars who taught humankind grokking and water – sharing. And love. Since that time GROK has become a neologisme.
This invitation to exhibit demanded the pilgrimage of twenty artists, mostly foreigners, born on three different continents, and who are ceramists, painters, engravers – draftsman, a sculptor, collage artist, a photographer, a video, and a visionary artist with his installation including sound under the vaults who agreed to the challenge. All the spaces inside and outside will be invested: an extraordinary installation on the garden side, plus, the creation of a specific work on site for the humongous wash house by Laure Boin. The Châteaux d’Aubais journey begins in the atmospheric garden. It follows a meandering path into the spaces alotted to each artist and to the nature of their works, and a performance for the opening night vernissage by Jean-Claude Gagnieux.


“Je présente mon travail sur la porcelaine sous forme d’installations, souvent étayées par des peintures et des dessins. Ces installations intègrent des paysages sonores sur-mesure et utilisent divers supports physiques, notamment des porcelaines immergées dans l’eau, suspendues à des mobiles, placées sur des objets ou des meubles trouvés.”

Pour cette exposition elle nous envoie des grands formats monochromes en sépia. Son thème central est des variations de reflets et mouvement de l’eau sur les peaux et dans les yeux des poisons. Des oeuvres d’un réalisme parfois psychologiquement troublant qui mènent les spectateurs dans leurs propres profondeurs. (photo: Peter Poplaski)



Le spectateur est souvent invité à pénétrer et à décoder, par le jeux de reflets ou juste grâce à sa position dans l’espace en rapport à l’œuvre, un message subliminal, une lecture en filigrane, un langage secret ouvrant la porte d’un univers sensible et ludique, que ce soit dans un dessin, un tableau à l’huile ou une installation. Je la laisse nous étonner dans le lavoir d’Aubais!

Jai toujours eu des carnets de dessins, cetait un truc de famille. Jai participé petite a quelques BD avec mes parents, fait des illustrations pour Ghostworld de Zwigoff et Clowes fin 90, et jai sorti mes 1eres BD « Belly Button Comix » 1 et 2 en 2000 chez Fantagraphics. J’ai participé a une compilation de BD « Mome » de Fantagraphics au debut des années 2000 pendant que je travaillais et apprenais l’art du tatouage, entre autres. Jai sorti un livre «Evolution of a crazy Artist » qui compile des dessins de mes carnets de 2 a 28 ans chez WW Norton, et participé a des expos de peinture New York et en France. Je vis toujours dans les Cevennes avec un mari, trois enfants, 4 poules, 1 chien et 2 chats.
Je voudrais continuer a faire des expos des mes peintures…..









A été l’un des pionniers de la bande dessinée underground en Amérique à partir de la fin des années 1960. De 1969 à 1999, il a également été éditeur. “Mes dessins «agglomérés» sont réalisés sur du papier recyclé épais formant la base de nombreuses tablettes. J’aime la façon dont les marqueurs «Sharpie» et certains stylos à bille fonctionnent avec la surface grise du panneau de particules.”








« A la Frontière » Entre 2014 et 2015 j’ai parcouru plus de 28’000 kilomètres à travers l’Europe avec « Destination Checkpoints On Tour », un projet sur l’esthétique sécuritaire initié en Palestine ou guerre et business sécuritaire fleurissent au quotidien.